Florestine Debergue s’est souvent sentie à l’écart, ignorée, du fait de normes sociales étroites qui l’obligeaient à rentrer dans le moule d’un monde où le ressenti et les émotions sont niés.
Elle apprend progressivement que son hypersensibilité est une force : elle permet de ressentir ce que les autres ressentent et rend attentif à de nombreux détails. Elle peut néanmoins être une faiblesse lorsqu’elle se retourne contre soi. L’hypersensible doit ainsi apprendre à se respecter et être empathique avec lui-même pour être heureux. C’est le message que l’autrice souhaite transmettre avec La petite fille aux émotions.